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Épisode 529 : L’inquiétant silence de Jean Marie
Il y a 2 ans
528 ème épisode de "La Quotidienne" de ce vendredi 12 aout 2022.
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Gard-Bi, Gard-Bi, Gard-BI,... !!!
( si on lit les "Mémoires d'Outre-Tombe" de cet auteur, on se rend compte que c'est une sorte d'auto-épitaphe en même temps que d'autobiographie , et au tout début de ce livre on apprend que Chateaubriand avait essayé de s'enlever la vie à l'âge de 12 ans avec une arme à feu, mais qu'il avait échappé à la mort parce que l'arme s'était enrayée - mais même s'il avait eu la chance d'échapper à la mort, il avait malgré tout traîné avec lui un état dépressif pendant tout le reste de sa vie, d'où le désir d'évasion romantique par la plume... et en lisant un peu plus loin cette oeuvre, on a en fait comme l'impression qu'il n'avait pas continué à avancer dans le flux du temps parce qu'il aimait la vie, mais plutôt parce qu'il avait raté son suicide...)
Je ne veux pas perdre de temps avec des détails, tout d'abord parce que ne sont pas ces détails qui sont importants, mais parce que les choses se précipitent trop pour perdre un temps précieux en hésitations/tergiversations; je dirai seulement que ce qui se passe présentement avec Jean-Marie est quelque chose qui se rapporte au domaine de l'occulte et de l'ésotérisme, et NON la véritable nature de ce domaine n'a rien à voir avec la voyance par téléphone, les horoscopes dans les journaux, où la boule de cristal de Madame Irma, ou de quoi que ce soit qui relèverait d'un sorte de "folklore" de prématernelle....
Tu nous as invité Dieudo à donner des conseils à Jean-Marie, eh bien si j'avais un seul conseil à lui donner, ce serait de lui dire de s'éloigner le plus possible des grandes villes ou de tout autre lieu où il y a de grandes concentrations de population humaine, et de rechercher le plus possible le contact avec la Nature, je veux dire un vrai contact profond et prolongé, et non pas de petites balades dans le parc du coin... même s'il n'a plus beaucoup de moyens financiers, il a peut-être encore un chalet à lui en campagne, ou un chalet d'un ami où il pourrait aller...mais comme il est dans un état dépressif, il ne faut pas qu'il se retrouve entièrement seul, il lui faudrait la compagnie de une ou deux personnes en qui il a entièrement confiance, des personnes dont il a la certitude absolue de leur bienveillance ( et je parle par expérience, ce ne sont pas nécessairement les membres de notre famille biologique! )
Qu'on se moque de moi et qu'on ridiculise ce que je dis, je m'en balance complètement, l'important c'est vraiment d'agir maintenant, parce que si on contente de glisser passivement le long de la pente descendante, il pourrait arriver à Jean-Marie la même chose qui est arrivée à Stéphane...et ce n'est pas pour faire peur, pour rendre coupable les autres, ou parce que je serais une "mythomane" que je dis ça, mais parce que j'ai vraiment l'impression, surtout depuis quelque jours, qu'il est vraiment temps, qu'il est vraiment important que nous nous bougions les fesses, que ce soit moi, Dieudo, les alerteurs/chercheurs de vérité, ou de qui que ce soit qui se soucie du sort des personnes qui nous tiennent à coeur....
[...] 𝑇𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑏𝑜𝑢𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑡𝑒́𝑠
𝑆𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑢𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑖𝑛𝑒,
𝑈𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑠𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑑’𝑢𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠,
𝑃𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑠𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒.
𝑀𝑜𝑖, 𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑛’𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑜𝑢𝑙𝑒́ 𝐴𝑡ℎ𝑒̀𝑛𝑒𝑠,
𝑀𝑜𝑖, 𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑓𝑒́𝑟𝑒́ 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠;
𝑄𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑖𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑠𝑒́𝑒𝑠,
𝐶𝑒 𝑠’𝑟𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠’𝑦, 𝑠’𝑦 𝑎𝑐𝑐𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒𝑟.
𝐴𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑑𝑖𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡-𝑖𝑙, 𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑚𝑖𝑠,
𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑖𝑠,
𝐷𝑒́𝑝𝑒̂𝑐ℎ𝑒𝑧-𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑙𝑖𝑟 𝑣𝑜𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠
𝑆𝑖 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑒𝑧 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑠...(𝐵𝑖𝑠)
Félix Leclerc, "Moi mes souliers"
Vite !
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒊𝒏𝒆𝒔
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒔 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒂𝒊𝒈𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆 𝒄𝒉𝒊𝒆𝒏 𝒅'𝒖𝒏 𝒇𝒖𝒔𝒊𝒍
𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒍𝒍𝒂𝒊𝒕 𝒇𝒖𝒊𝒓 𝒍𝒂 𝒔𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏 𝒄𝒊𝒕𝒂𝒅𝒊𝒏𝒆
𝑳𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒕𝒓𝒐𝒏𝒔, 𝒍𝒆𝒔 𝒂𝒎𝒊𝒔
𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒍𝒍𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒂𝒑𝒑𝒖𝒊 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒂𝒖𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔
𝑫𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒂𝒕𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒖 𝒑𝒂𝒚𝒔
𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒍𝒍𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒂𝒑𝒑𝒖𝒊 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝒃𝒐𝒏𝒉𝒆𝒖𝒓
𝑬𝒕 𝒕𝒓𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓 𝒍'𝒉𝒂𝒓𝒎𝒐𝒏𝒊𝒆
𝑹𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒎𝒆𝒔 𝒉𝒐𝒏𝒏𝒊𝒆𝒔
𝑨𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒂𝒖-𝒅𝒆𝒍𝒂̀ 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒃𝒆
𝑫𝒆𝒔 𝒗𝒂𝒍𝒍𝒐𝒏𝒔, 𝒅𝒆𝒔 𝒗𝒂𝒍𝒍𝒆́𝒆𝒔
𝑨𝒖-𝒅𝒆𝒍𝒂̀ 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒃𝒆
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒊𝒏𝒆𝒔
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒂 𝒓𝒊𝒗𝒊𝒆̀𝒓𝒆
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒉𝒆𝒎𝒊𝒏𝒔 𝒅𝒖 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔
𝑫𝒆 𝒄𝒂𝒔𝒄𝒂𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒏 𝑲.𝑶.
𝑫𝒆 𝒏𝒐𝒔 𝒆𝒔𝒑𝒐𝒊𝒓𝒔, 𝑵𝒐𝒖𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒓𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒓𝒊𝒏𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔
𝑷𝒆́𝒕𝒓𝒊𝒓 𝒍𝒆 𝒑𝒂𝒊𝒏 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒂𝒖
𝑬𝒏 𝒆́𝒄𝒐𝒖𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒎𝒆́𝒔𝒂𝒏𝒈𝒆
𝑰𝒈𝒏𝒐𝒓𝒆𝒓 𝒍'𝒊𝒓𝒐𝒏𝒊𝒆
𝑬𝒏 𝒔𝒖𝒓𝒗𝒆𝒊𝒍𝒍𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑶𝒓𝒂𝒏𝒈𝒆𝒔
𝑷𝒓𝒆̀𝒔 𝒅𝒆 𝑳𝒐𝒏𝒅𝒐𝒏𝒅𝒆𝒓𝒓𝒚
𝑳𝒊𝒗𝒆 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝑪𝑩𝑪
𝑨𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒅𝒐𝒔 𝒅'𝒂̂𝒎𝒆 𝒅𝒐𝒏𝒅𝒂𝒊𝒏𝒆
𝑳𝒆 𝒑𝒐𝒊𝒏𝒈 𝒔𝒆𝒓𝒓𝒆́, 𝒍𝒂 𝒈𝒖𝒆𝒖𝒍𝒆 𝒅𝒆 𝒃𝒐𝒊𝒔
𝑨𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒅𝒐𝒔 𝒅'𝒂̂𝒎𝒆 𝒅𝒐𝒏𝒅𝒂𝒊𝒏𝒆
𝑹𝒆́𝒊𝒏𝒗𝒆𝒏𝒕𝒆𝒓 𝒄𝒆 𝒑𝒂𝒚𝒔-𝒍𝒂̀
𝑶𝒉, 𝒐𝒉, 𝒐𝒉
𝑰𝒍 𝒇𝒂𝒍𝒍𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒓𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆 𝒂𝒑𝒑𝒖𝒊 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒂𝒖𝒕𝒆𝒖𝒓𝒔
𝑫𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒂𝒕𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒅𝒖 𝒑𝒂𝒚𝒔
𝑷𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒆 𝒅𝒆́𝒇𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆, 𝒂𝒓𝒓𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒍'𝒂𝒓𝒓𝒐𝒔𝒆𝒖𝒓
𝑬𝒕 𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆
𝑬𝒕 𝒕𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆
𝑨𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒂𝒖-𝒅𝒆𝒍𝒂̀ 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒃𝒆
𝑫𝒆𝒔 𝒗𝒂𝒍𝒍𝒐𝒏𝒔, 𝒅𝒆𝒔 𝒗𝒂𝒍𝒍𝒆́𝒆𝒔
𝑨𝒖-𝒅𝒆𝒍𝒂̀ 𝒅𝒆 𝒍'𝒂𝒖𝒃𝒆
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒊𝒏𝒆𝒔
𝑷𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒊𝒏𝒆𝒔
Au delà de l'aube: https://www.youtube.com/watch?v=0SvToA2ga_4
Il lui faut des soins à ce pauvre hère.
"Le public de Dieudonné c'est antisémite, beaucoup d'antisémite et de banlieues...J'ai même vu des voilées !".
Une grenouille vit un bœuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle qui n'était pas grosse en tout comme un œuf,
Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille
Pour égaler l'animal en grosseur,
Disant : Regardez bien, ma sœur ; Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ?
— Nenni.
— M'y voici donc ?
— Point du tout.
— M'y voilà ?
— Vous n'en approchez point.
La chétive pécore s'enfla si bien qu'elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs,
Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
Tout Marquis veut avoir des Pages.
Jean de La Fontaine