"I made love with the devil", "j'ai fait l'amour avec le diable".

Anne von Hausswolff, une artiste suédoise, s'est vu interdite de spectacle dans deux églises après que les prêtres de celles-ci aient catégoriquement refusé de voir se produire une artiste chantant qu'elle fait l'amour avec le diable, soupçonnant la jeune femme d'être une sataniste.

On notera la vitesse à laquelle les médias mainstream décriront cette prise de décision comme celle d'un groupuscule extrémiste catholique, allant jusqu'à demander justification aux prêtres en question qui se retrouveront à la limite des excuses, expliquant que ces annulations servent premièrement à préserver le maintien de l'ordre aux portes de l'église.

Le fait que les musiques produites entre en désaccord avec les principes de l'église ne suffit pas aux journalistes mainstreams.

L'allure que les choses prennent nous feront un jour peut-être observer la gay-pride à Notre-Dame.