Il aura fallu à peine plus de 30 jours à Biden depuis sa prise de poste pour qu’il décide de bombarder la Syrie.


Une attaque au lance-roquette serait survenue le 15 février sur une base américaine en Syrie d’après le pentagone, raison pour laquelle Biden a pris la décision de répandre la démocratie avec pas moins de sept bombes JDAM de 226 kilos chacune, soit plus d’une tonne et demi d’explosifs téléguidés lâchée depuis un Boeing… Les USA sont de retour avec leur politique de désescalade via bombardement. 


Les démocrates comme les républicains de l’establishment brandisses comme à d’habitude la défense des intérêts des Etats-Unis face à leurs ennemis du monde entier en rappelant au passage que la moindre attaque ne saurait rester impunie.


Les faits se déroulent après que Biden se soit vu réattribuer les codes de la bombe nucléaire, précédemment retiré des mains de Donald Trump alors qu’il était encore à la présidence. 
Cette attaque des États-Unis contre la Syrie survient juste après que Joe Biden ordonne le retour des troupes en Syrie, inversant le courant mis en place du gouvernement Trump qui souhaitait retirer progressivement les troupes américaines en Moyen-Orient.


On comprend donc mieux ce qui se cache derrière le visage de grand-père gâteux que porte Joe Biden, dont la politique revendiquée au cours des élections présidentielle comme étant celle de la paix, l’unité et l’humanisme, dénonçant celle du président sortant, n’était qu’un écran de fumée.