Campagne publicitaire de Balenciaga : Des ours en peluche en tenues sado-maso tenus par des enfants et une décision du tribunal en arrière-plan au sujet de la pornographie infantile.
Un utilisateur de Twitter passionné qui s'appelle “Shoe” a posté des captures d’écrans de la campagne publicitaire de la marque de mode de luxe Balenciaga. Des images très troublantes des jeunes enfants tenant des animaux en peluche habillés BDSM.
Bien que la partie la plus inhabituelle de cette campagne soit les documents sur la table, car dans une de ces images figure une décision de justice un sujet de la pornographie infantile.
Dans le fil d’actualité de Twitter, Shoe a écrit : “La marque Balenciaga vient de faire une Uh… Intéressante… Séance photo de leurs nouveaux produits récemment, qui contient intentionnellement des documents mal cachés d’une décision de justice à propos de la pornographie infantile virtuelle”.
Le fil d’actualité a également montré du doigt le fait que la marque de mode ait quitté Twitter moins d’une semaine auparavant Shoe a écrit : “timing intéressant”.
Autre fait étrange, l’entreprise a également effacé toutes ses publications sur Instagram. Leur page avait plus de 14 millions d’abonnés.
Cette publicité des produits Balenciaga a des thèmes qui porte à confusion tels qu'inclure des enfants avec les couleurs de l’arc-en-ciel, des rouleaux adhésifs, des laisses, des colliers, des verres de vin, et bien sûr cette artillerie bizarre de bondage sur l'ours en peluche.
Le directeur de production Robby Starbuck a fait une vidéo examinant plus en détail ces publicités au caractère douteux.
Les nouvelles campagnes publicitaires de Balenciaga incluent des enfants avec des nounours habillés en bondage et une référence à Ashcroft vs Free Speech coalition. La Court Suprême a rendu légal la simulation de la pornographie infantile. En effet, en contournant ces parties du droit qui ont été adoptées pour protéger les enfants. Vraiment vil.
Sur une des photos, on peut voir un ruban jaune sur le sol, sur lequel est inscrit "Baalenciaga" avec de "A" comme le dieu païen Baal (ou démon suivant les versions). Une référence occulte supplémentaire
Dans une photo d'une autre de leurs campagnes publicitaires, on peut apercevoir au fond un livre de Michael Borremans...
Mais qui est Michael Borremans ? Un artiste dépeignant des scènes de... rituels occultes et autres mutilations d'enfant.
Le livre d'en dessous semble d'ailleurs être "The cremaster cycle", livre analysant une série de films du même nom, aux imageries maçonniques et comprenant entre autres des mutilations génitales.
Ces mêmes personnes crieront probablement au complotisme quand ces réalités leur sauteront aux yeux.
Paix aux idiotes... et aux idiots aussi.