Qui finance Libération ? Ce journal ayant fait l'apologie de la pédophilie dans les années 70 et ayant plus récemment réalisé une pseudo-enquête diffamatoire à l'encontre de Dieudonné manque de moyens financiers. 

En panne de trésorerie, le quotidien a fait appel à Patrick Drahi, milliardaire franco-israélien à la rescousse. Son ancien patron a donc mis en place une stratégie de paiement par échelon afin de déduire au maximum de ses impôts l’argent injecté dans Libération.

L'an dernier, l'Etat (PGE) leur octroi un prêt de 3,8 millions d'euros et ils bénéficient d’un autre prêt de 387.000 euros à 2,53 % sur dix ans de l'Ifcic (institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles). Ceci est manifestement insuffisant. Car bien qu’il ait diminué ses pertes, le journal n'atteindra son équilibre qu’en 2026.

L’actuel patron du quotidien dit : « Discuter actuellement de cette levée de fonds avec le groupe Altice de Patrick Drahi ». Quoique, pour le Secrétaire général de SFR et PDG de ses activités médias : « Il n'y a aujourd’hui aucun engagement contractuel d'accompagnement de Libé, si ce n’est une promesse orale de ne pas abandonner le journal fait par Arthur Dreyfus ». Le groupe Altice n'a certes pas fait de communiqué à ce sujet, mais Patrick Drahi a déjà eu à utiliser les pertes passées du quotidien, pour réduire l'impôt de SFR. Le milliardaire aurait encore mis en place un montage afin de récupérer une partie de l'argent injecté dans Libération sous forme de réduction d'impôt.

Interrogé par le Sénat, Patrick Drahi a déclaré ne pas avoir bénéficié de défiscalisation sur son don de 20 millions d'euros. Avant de reconnaître que « la mise en Fondation d’un journal permet de défiscaliser une partie de l'argent perdu ».

Par estimation, Patrick Drahi a au total donné 75 millions d’euros aux fins de dotation au Quotidien, ce qui lui donne donc droit à une réduction d’impôts de 30,4 millions d'euros. Et les compressions de 2020 de SFR font état d'un crédit d’impôt de 36,3 millions d’euros qui « provient de la transaction Libération". 
Cependant, le patron de SFR ne versera jamais aux employés du journal une indemnisation pour la perte de déficits fiscaux, malgré leurs réclamations.

Des dizaines de millions qui devrait, selon tout bon sens, revenir à l'Etat pour financer les infrastructures publiques servent donc à financer une propagande nauséabonde.