Royaume Uni : un taux de mortalité élevé chez les jeunes adolescents vaccinés

 

Le jeudi 13 janvier, à la Haute Cour de Justice de Londres, l’ONS a confirmé une augmentation de 62 % par année consécutive du taux de mortalité des adolescents et de jeunes adultes de sexes masculins vaccinés contre le Covid-19 de 2019-2021.

 

Un comité de 80 scientifiques et professionnels de la santé demande une enquête urgente et une réponse dans les sept jours, dans une lettre ouverte qu’ils ont signé et adressé au secrétaire d’Etat à la santé Sajid Javid, au conseiller médical du gouvernement Chris Whitty, au conseiller scientifique du gouvernement Patrick Vallance et aux organismes de santé publique concernés.

 

La lettre explique que 402 décès sont enregistrés chez les hommes de 15 à 19 ans de 2019-2021, ce qui est 65 de plus que la moyenne annuelle qui était de 337 entre 2015-2019.

Par la suite, la lettre affirme que l’ONS redoute que certains décès n’ont pas été enregistrés. Car les décès enregistrés en moyenne par an au cours de cette période, ne représentent que 62 % des décès réels survenus. Il accuse un retard dans les enregistrements, ce qui implique que les 65 décès d’hommes en excès pourraient être en réalité de 105 décès par an.

 

Sur la table des réclamations, les plaignants ont dit vouloir que :

- les décès anonymisés et les informations connues par les services de santé soient publiées pour une transparence totale dans l’intérêt public.

- les données concernant les décès consécutifs à la vaccination Covid-19 devrait être examinées séparément étant donné ce que l’on sait de la probabilité qui est très élevée pour le risque de myocardite chez les jeunes hommes.

 

Le comité mixte de la vaccination et de l’immunité (JCVI) avait au préalable refusé de recommander la vaccination des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé (avant de l’aviliser). Mais cette décision avait été annulée par les quatre médecins chefs d’Angleterre, du Pays de Galles, d’Écosse, et d’Irlande du Nord. Pour eux, le vaccin était la preuve que les enfants se porteraient mieux en se basant sur le nombre réduit des absences scolaires, sans tenir compte des risques sur le long terme.