Effets secondaires des vaccins : La Norvège verse une indemnité aux victimes d’AstraZeneca.


Au moins trois cas de réactions immunitaires qui sont avérés être dus aux effets secondaires de l’AstraZeneca fabriqué à Oxford ont été indemnisés en Norvège par le système norvégien d’indemnisation des patients (NIP). Plusieurs douzaines sont dans l’attente du paiement de leur droit si les réactions s’avèrent être établie avec le vaccin. Son retrait du déploiement national du vaccin a été imminent.

“J’ai été admis à l'hôpital avec des douleurs atroces.”

"J’ai été admis à l'hôpital avec des douleurs atroces. C’était effrayant de suivre les nouvelles à propos de ces personnes qui venaient de mourir du même vaccin” a déclaré le jeune anonyme à NIP.
Âgé de 30 ans et agent de santé, il souffre de graves réactions immunitaires.

Vaccin anti-COVID, les dangers

Plus de 16,000 cas de signalements sur la suspicion des effets secondaires dangereux du vaccin anti-COV a été enregistré à la fin du mois de juin, a rapporté le média NRK en citant l’agence norvégienne des médicaments.

Au total, 77 demandes d’indemnisations sont déclarées associées aux effets secondaires du vaccin du COV en Norvège. Plus de 50 d’entre eux concernent AstraZeneca, tandis qu’il y a des plaintes également à propos du vaccin de Pfizer et Moderma. Huit de ces 77 demandes concernent des cas mortels.

Bien que des personnes qui se plaignent de symptômes relativement bénins tels que la fièvre, le mal de tête, la fatigue, l’étourdissement, il y en a qui ont de graves conséquences médicales telles que la formation de caillots sanguins, saignement, paralysie et  réactions allergiques sévères avec anaphylaxie, qui sont des cas signalés.

794 personnes mortes de Coronavirus en Norvège.

Le coronavirus a traîné avec elle, une frénésie générale vers les vaccins. Environ 4,2 millions de doses de vaccins ont été administrés et plus de 1.5 millions de personnes sont complètement vaccinés. Après qu'AstraZeneca ait été suspendu par le gouvernement, c’est au tour du vaccin Johnson & Johnson de soulever des inquiétudes, selon l'institut national de la santé publique (INSP).

 

C’est en tout cas un premier pas vers la reconnaissance des dangers des vaccins expérimentaux par une institution d’Etat.