Des Laboratoires biologiques du pentagone en Ukraine


Le ministère de la Défense américain fabrique des armes biologiques en Ukraine à travers ses nombreux laboratoires de recherche. Les déclarations de la sous-secrétaire d’Etat Victoria Nuland, suscitent des inquiétudes.

NE RATEZ PAS LA VIDÉO DE DIEUDO A CE SUJET !
L’Ukraine détient 11 laboratoires où sont fabriquées des armes biologiques. La paternité de ces projets revient au Pentagone qui les finance. L’Ukraine et les Etats-Unis sont liés par un programme dans lequel ils “travaillent avec des agents pathogènes très dangereux”. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères chinoise, Zhao Lijian, a indiqué que “les activités bio-militaires américaines en Ukraine ne sont que partie émergée de l’Iceberg. Sous différents noms, le Département américain de la défense contrôle 336 laboratoires biologiques dans 30 pays”.

Cependant, la sous-secrétaire d’Etat américain Victoria Nuland a déclaré, mardi, que Washington travaillait avec l’Ukraine pour empêcher que les installations de recherche biologique ne tombent entre les mains des Russes. Ainsi, l’ambassade américaine à Kiev a effacé de son site internet des documents où l’on trouvait le détail du financement des laboratoires autorisés à manipuler les germes pathogènes en Ukraine dès le début de l’attaque russe.

Afin de mieux comprendre, le programme américain de coopération pour la réduction des menacés (CTRA) est une agence de soutien au combat, au sein du département de défense des Etats-Unis. Le centre d’Odessa travaille avec des souches utilisées dans le développement d’armes biologiques. Ainsi, le 15 juin 2010 s’ouvre le premier centre biologique d’Ukraine de l’institut de recherche Metchnikov anti-Plague à Odessa en présence de l’ambassadeur américain John Tefft.

Le porte-parole du ministère des affaires chinoises affirme que : “ les UE bloquent depuis 20 ans la construction du protocole de vérification de la Convention sur les armes biologiques et refusent d’accepter les inspections des installations biologiques à l’intérieur et à l’extérieur de leurs frontières, ce qui fait que renforcer les inquiétudes de la communauté internationale.